Née dans le temps d’une paix
Loin de l’histoire, mais si près, ces mots se sont imposés, au coeur de l’actualité. J’ai eu le goût de les partager avec vous. Demain, tout ça sera de l’histoire….
Loin de l’histoire, mais si près, ces mots se sont imposés, au coeur de l’actualité. J’ai eu le goût de les partager avec vous. Demain, tout ça sera de l’histoire….
En voie de disparition, ce patronyme, amené ici par Célestin Arsenault apparaît dans l’arbre généalogique de plusieurs familles, surtout plus à l’Est. Malheureusement, il est bien difficile de remonter son ascendance. Ah la généalogie acadienne!
En 1973, le Québec se donne entière autorité sur les traversiers avec une nouvelle loi. On devra quand même attendre jusqu’à la fin de la décennie afin de la voir s’appliquer à la traverse sur le Saguenay.
Même si de mémoire d’homme, on ne peut en parler, les tempêtes d’automne ont toujours existées et des écrits restent. Dans notre secteur, c’est évidemment les sables de Mille-Vaches qui emprisonnent les navires.
Parfois surprenants, parfois dérangeants ou même drôles, les prônes racontent les petites histoires quotidiennes des habitants d’une paroisse.
On ne décommandera pas le printemps! Même le crabe arrivera dans notre assiette, heureusement. Au siècle précédent, une goélette à quai signifiait le retour des beaux jours mais surtout des produits manufacturés et des nouvelles de l’extérieur… étrange en ce temps de confinement, non?
Si aujourd’hui les médias se chargent de nous apeurer avec les mauvaises nouvelles, la peur d’hier n’avait pas besoin des médias… les curés s’en chargeaient!
À l’approche de la «Journée internationale des droits des femmes», ce texte se veut un hommage à ces femmes et mères innues dont certaines ont vu leurs droits bafoués pour avoir aimé un homme blanc et lui avoir donné des enfants.