Aux prônes de nos paroisses (3e partie)
Parfois surprenants, parfois dérangeants ou même drôles, les prônes racontent les petites histoires quotidiennes des habitants d’une paroisse.
Ce que dévoilent les archives sur notre région.
Parfois surprenants, parfois dérangeants ou même drôles, les prônes racontent les petites histoires quotidiennes des habitants d’une paroisse.
On ne décommandera pas le printemps! Même le crabe arrivera dans notre assiette, heureusement. Au siècle précédent, une goélette à quai signifiait le retour des beaux jours mais surtout des produits manufacturés et des nouvelles de l’extérieur… étrange en ce temps de confinement, non?
Si aujourd’hui les médias se chargent de nous apeurer avec les mauvaises nouvelles, la peur d’hier n’avait pas besoin des médias… les curés s’en chargeaient!
À l’approche de la «Journée internationale des droits des femmes», ce texte se veut un hommage à ces femmes et mères innues dont certaines ont vu leurs droits bafoués pour avoir aimé un homme blanc et lui avoir donné des enfants.
Nier l’apport des autochtones dans la génétique de la population de la région relèverait de l’hérésie. Cependant le métissage de nos gens se prouve autrement que par des cartes d’Alliance Autochtone du Québec.
Lors d’une chronique précédente nous découvrîmes la richesse des prônes. Nous avons encore bien des trésors à découvrir dans ces écrits. Comme une multitude de petites fenêtres ouvertes sur hier.
Pendant la décennie 1950 la Haute-Côte-Nord est hockey! Mais un hockey de gros calibre, «boosté» par les compagnies de bois et de généreux mécènes… avec la bénédiction des curés de paroisse.
Comment trouver la vérité quand le douteux côtoie souvent l’improbable? Sommes-nous devant un cas, et même deux, de génération spontanée? D’où arrivaient Jordan et Jourdain?