Pendant la décennie 1950 la Haute-Côte-Nord est hockey! Mais un hockey de gros calibre, «boosté» par les compagnies de bois et de généreux mécènes… avec la bénédiction des curés de paroisse.
Comment trouver la vérité quand le douteux côtoie souvent l’improbable? Sommes-nous devant un cas, et même deux, de génération spontanée? D’où arrivaient Jordan et Jourdain?
L’histoire du hockey, chez-nous, se divise naturellement en trois périodes. La première période sera faite de matchs improvisés, d’invitations à croiser les hockeys et d’un drame.
Si la tragédie aérienne de Sault-au-Cochon ne nous concerne pas; celle de Forestville nous concernera plus. Même si les victimes ne sont pas de la région…
Une Anti-chronique, l’art de ne pas écrire l’histoire? Bref, ce n’est pas la rivière forestvilloise qui a été le théâtre du film de Denys Arcand et Gilles Carle… et encore moins le lieu de la tragédie de 1949!
Dans la prochaine décennie on réclamera la gratuité parce que cette traverse fait office de pont… et pourquoi pas demander un pont tant qu’à y être?
La solution d’un pont sur le Saguenay n’est point une idée moderne, elle date des années 1940. On retrouve, à travers les décennies, plusieurs «perles» relatant la construction d’un pont.
Les historiens et autres chercheurs en histoire/généalogie vous diront qu’en feuilletant les prônes d’une paroisse, c’est tout un pan de la vie de nos ancêtres qui défile devant nos yeux…
