D’la faute à Napoléon!?
Même si de mémoire d’homme, on ne peut en parler, les tempêtes d’automne ont toujours existées et des écrits restent. Dans notre secteur, c’est évidemment les sables de Mille-Vaches qui emprisonnent les navires.
Même si de mémoire d’homme, on ne peut en parler, les tempêtes d’automne ont toujours existées et des écrits restent. Dans notre secteur, c’est évidemment les sables de Mille-Vaches qui emprisonnent les navires.
Les vieux journaux en ligne sont comme un sac de bonbons que l’on explore les yeux fermés, sans savoir sur quelle saveur nous tomberons. Un article éclaire parfois un pan de notre histoire; un autre relève du souvenir déjà entendu.
Comment les habitants de la Seigneurie de Mille-Vaches passeront de «squatters» à propriétaires pendant la décennie 1960…
Pour comprendre l’ambiguïté de la situation – on utilise ici un mot poli afin de ne pas écrire « le mot de Cambronne » – il vous faudra une certaine ouverture…
La région, touchée par le ralentissement du marché du bois, doit aussi trouver une solution. S’amorce alors une saignée de nos vieilles paroisses vers les cantons plus à l’est.
Après quelques tentatives au Saguenay, on voit s’ériger, en mai 1863, dans notre future Haute-Côte-Nord, deux municipalités : Tadoussac et Escoumains…